Les femmes, en particulier les mères qui font du bénévolat, sont souvent l’épine dorsale du bon fonctionnement d’une équipe sportive de jeunes. Voici quelques conseils aux mamans sportives d’une maman sportive : vous contribuez à rendre l’expérience sportive de votre enfant plus agréable, ainsi que la vôtre.
Ne pas parler, surtout à propos de l’entraîneur
Si vous rassemblez suffisamment de personnes, il y a de fortes chances qu’il y ait au moins un papillon social dans le groupe. Les personnalités amicales et invitantes font que tout le monde se sent le bienvenu et gardent tout le monde dans la boucle de communication. Souvent, le papillon social finit par être la maman de l’équipe. S’il y a une question, la maman de l’équipe ou d’autres parents discutent des problèmes entre eux plutôt qu’avec l’entraîneur. Ce n’est généralement pas un problème, mais il est important de comprendre que ce scénario peut entraîner des problèmes lorsque l’on parle de l’entraîneur.
Ci-dessous des conseils pour concilier vie de famille et sport :
Alors, sortons ce sujet au grand jour maintenant ! Une erreur courante à connaître et à éviter est la tendance aux commérages. Même si les commérages sont le plus souvent associés aux femmes, les hommes sont souvent coupables de commérages aussi, même si cela prend une forme différente. Les potins d’un homme commencent généralement par une analyse de jeu et se transforment rapidement en critiques de jeu, en remplacements, en temps de jeu ou en la façon dont l’entraîneur dirige les entraînements. De telles critiques peuvent créer une négativité de jugement qui n’est vraiment pas meilleure que des ragots.
Encourager, ne pas harceler
Chaque enfant aime entendre les acclamations de la foule. Entendre les mots « bon travail » et « vous pouvez le faire » est de la musique pour les oreilles des enfants. La musique peut virer au bruit avec quelques mots mal placés.
Aimeriez-vous entendre ces déclarations quinze fois en une heure ? Bien intentionné, les conseils correctifs doivent venir du coach. Faites savoir à votre enfant que vous êtes fier de ses efforts et ne l’entraînez pas de côté.