Votre gynécologue ou votre médecin vous disait il y a une semaine que vous deviez accoucher dans les prochains jours, mais vous commencez à trouver le temps long ? Découvrez ces quelques astuces pour vous donner un coup de pouce.
Bougez pour favoriser l’accouchement
Vous commencez peut-être à vous sentir particulièrement lourde et constamment fatiguée. Utilisez votre réserve d’énergie pour vous activer. En vous tenant debout, vous indiquez la sortie à votre bébé et l’incitez à s’y rendre par effet de gravité. En marchant, vous exercez une pression sur le col de l’utérus, provoquant une augmentation de sécrétion de l’hormone de l’accouchement, l’ocytocine. En faisant le ménage de fond en comble, vous contribuez à dilater le col. Profitez-en pour nettoyer les vitres : en levant les bras, vous stimulez les contractions.
Retrouvez des moments de complicité avec votre partenaire
Pour éviter que votre partenaire soit mis à l’écart et pour qu’il se sente concerné par cette « dernière ligne droite », rapprochez-vous de lui. Ce sera l’occasion de partager un bon plat très épicé qui booste également la production d’ocytocine. Vos nerfs bien stimulés par les épices, la sieste qui suivra n’en sera que plus intense.
Lors de ces moments à deux, il peut aussi être question de jeux, comme gonfler le plus de ballons. En soufflant, vous contractez les muscles abdominaux, mouvement utile pour déclencher l’accouchement.
Et si vous vous essayiez à l’homéopathie et à l’acupuncture ?
Actea racemosa, pulsatilla, caulophyllum et arnica, ce sont quelques-uns des remèdes qu’un médecin homéopathe peut vous recommander pour stimuler le travail. Et justement, il est indispensable de passer par ce praticien pour adapter le traitement adéquat à votre cas. Sauf avis contraire du médecin, une cuillérée à café d’huile de ricin peut aussi aider.
L’acupuncture sera bien sûr pratiquée par un professionnel. Il saura insérer les aiguilles au bon endroit pour favoriser la sécrétion de l’ocytocine.